Avril 2021
Mars 2021
Une interview de Chantal Misandeau sur le site d’Univet Nature :
Rencontre avec Chantal Misandeau – Univet Nature
Février 2021
Participez au gala à l’intention des bénéficiaires d’Univet Nature : un espoir pour les animaux sauvages
Présentation générale du gala : https://gala-univet.fr/
Actualité en ligne sur le gala : https://univetnature.org/2021/02/10/un-gala-de-lespoir-pour-les-animaux-sauvages/
Les projets sélectionnés : https://gala-univet.fr/les-projets
Inscription : https://www.weezevent.com/gala-univet
Mai 2020
Nous sommes maintenant soutenus par la Fondation Univet Nature, fondée par les vétérinaires français, qui a repris les activités du fonds de dotation Feralis : https://univetnature.org/
Voici un lien sur les actualités d’Univet Nature :
Des vétérinaires au secours des ONG de protection de la faune sauvage
ADAFAM est actuellement en négociations avec la Direction Régionale de l’Environnement et du Développement Durable de la région Analanjirofo pour la signature d’un contrat de délégation de gestion d’une durée de cinq ans. Univet Nature s’engagerait alors à nous soutenir pendant cette durée, en particulier pour des actions de reboisement.
Par ailleurs nous allons être soutenus pendant deux ans par l’American Orchid Society, pour des actions de recherche et de protection des orchidées, et la formation des guides locaux.
Août 2018
Grâce au soutien du fond de dotation Feralis, l’ADAFAM a engagé un programme de sécurisation foncière pour préserver l’intégrité de la forêt. Cette démarche est longue et consiste à apporter des compensations financières à ceux qui disposaient de droits coutumiers sur le domaine de l’Etat. Ceci devrait mettre fin aux « tavy », la culture sur brûlis qui menace à l’intérieur même de la réserve, avec en particulier un épisode récent fin 2017. Les moyens de contrôle ont été renforcés par les patrouilles de l’AGPN qui quadrillent le secteur. Il reste toutefois encore des parcelles à protéger pour garantir la pérennité du site.
Grinaud Miandra, guide diplômé de l’AGPN
Vers un programme d’éducation à l’environnement à Manompana
A Manompana, l’école publique (Ecole primaire) compte 14 enseignants pour 1100 élèves (environ 80 élèves par professeur). Il y a également deux écoles privées non confessionnelles (300 élèves environ) et un nombre important d’écoles confessionnelles. Le nombre de religions avoisine une dizaine entre l’église catholique, les églises réformées anglaises et norvégiennes, les témoins de Jéhovah et les nombreuses sectes évangéliques. Par éthique laïque, L’ADAFAM n’intervient pour l’instant que dans le cadre des écoles publiques ou privées non confessionnelles. En juillet 2018, l’ADAFAM a rencontré des chefs d’établissements et les enseignants de Manompana. Les premiers échanges ont porté sur la sensibilisation à l’écosystème de la « mangrove » qui fait partie de l’environnement immédiat du village.
L’ADAFAM a noué de solides relations avec les habitants de Manompana
Par ailleurs, l’ADAFAM forme et emploie les guides de l’Association des Guides Protecteurs de la Nature (AGPN). L’association a travaillé avec les autorités locales et les bûcherons pour lutter contre les coupes illégales de bois. Enfin, l’ADAFAM a assuré des animations ludiques avec les villageois lors d’une fête locale : courses de pirogues, course en sac, avec distribution de prix.
Course de pirogues à Manompana
Mai 2018
Signature d’une convention entre le fonds de dotation Feralis et ADAFAM
Cette convention a été signée à Paris le 17 mai 2018. Le Fonds de dotation Feralis (voir aussi la page « partenaires ») apporte une aide financière pour des interventions portant sur :
La préservation de l’intégralité de la réserve d’Ambodiriana.
L’exploitation forestière clandestine est permanente en périphérie mais aussi dans la réserve. Une logistique d’organisation est indispensable pour assurer la coordination et la surveillance du site.
L’acquisition des espaces de forêt primaire en périphérie et des espaces dégradés dans la réserve.
La gestion du site est complexe car le statut des parcelles dans la réserve est soumis à des baux locatifs ou communaux mais également au droit coutumier non écrit. L’une des solutions pour sortir de cette situation instable passe par l’acquisition foncière.
La sensibilisation environnementale des publics de Manompana.
Ce projet est particulièrement important pour conscientiser les jeunes malgaches à la richesse et à la fragilité de leur patrimoine naturel.